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Péron

Infos :

Péron est situé, dans le pays de Gex au pied de la Haute Chaîne du Massif du Jura, et des pâturages tels ceux de la "Poutouille" et du "Gralet" qui sont situés en altitude. Comme de nombreuses communes du pays de Gex, elle a connue un fort développement au cours de la seconde moitié du XXe siècle, suite à l'implantation sur Genève de diverses organisations internationales, qui a provoqué une recrudescence de l'intérêt économique pour cette région à majorité agricole. La commune comprend les hameaux de Logras, Feigères et Greny.




A voir à Péron  :

La pierre aux Nitons : Au-dessus de Feigères, une pierre des massifs alpins suisses (probablement valaisans), importée sur place par le Glacier du Rhône lorsque celui-ci recouvrait encore le bassin lémanique, est, selon la légende, habitée par des Nitons, être féériques. Cette pierre n'est pas sans rapport avec celles présentes dans la rade de Genève, qui portent le même nom.

Le Verger Tiocan : Le verger Tiocan est implanté dans le pays de Gex, entre le massif du Jura et le lac Léman, dans la partie orientale du Département de l’Ain. Ce verger de sauvegarde cherche à valoriser le patrimoine fruitier local et à maintenir un diversité génétique ; Les arbres de "plein vent" plus résistants que les arbres nains, en adéquation avec les modes de culture des anciens vergers, sont privilégiés. Le verger est composé de 400 arbres représentant 150 variétés différentes, avant tout pommes mais aussi poires et prunes. Soit 2.3 hectares de terrain avec un local technique, comprenant une toute nouvelle salle d’accueil et d’animation. Ce local a été crée avec l’appui des communes, du département de l’Ain, de la Région Rhône Alpes et le Parc Naturel Régional du Haut Jura, pour permettre la transmission d’un savoir faire menacé grâce à l’organisation de cours de taille, de greffe, de visites guidées mais aussi de l’annuelle fête du Verger chaque premier week end d’octobre. Présentation de l’héritage d’un savoir-faire ancien : la sélection des variétés fruitières locales en fonction de leurs valeurs gustatives, de la conservation et de leur résistance aux maladies. La sauvegarde de ce patrimoine vivant s’inscrit dans la lutte pour le maintien de la diversité génétique et les études sur le phytosanitaire. Diaporama.
Ouverture sur rendez-vous du 15 avril au 10 novembre et ouverture pour les manifestations nationales (rendez-vous au jardin, journée du Patrimoine) et lors de la fête du Verger (en octobre) Tarif : 1,50 € - 2,30 €.
Adresse : Greny 01630 Péron
Tél. 04.50.59.41.77

Passin


A voir à Passin  :

Église : nef romane.


Le pain de sucre : Curieuse stalagmite conique de 6m de haut, située dans une spacieuse reculée où il fait toujours frais, édifiée au cours de millénaires par les eaux très calcaires de la Bèze. Ce calcaire précipite pour donner naissance à une roche calcaire, poreuse et légère, utilisée jadis dans la construction des maisons ou des voûtes d'églises, que l'on appelle tuf. Il existait plusieurs carrières de tufs dans le Valromey dont la dernière se situait au Moulin de Bergon (juste en dessous du pain de Sucre). Panneau indicateur sur la D30 entre Poisieu et Brénaz. Parking aménagé.

Parves

Infos :

Commune située à 5 km à l'est de Belley, entre le Rhône et son canal de dérivation. Elle est dans la zone d'appellation AOC des vins du Bugey.




A voir à Parves  :

Belvédère et table d’orientation : Depuis la table d'orientation, on peut admirer les Massifs de Moyenne montagne : tels le Colombier, le Tantanet et à vos pieds, le canal du Rhône qui s'étire de Seyssel à Belley en passant par le plan d'eau de Massignieu de Rives. Altitude 400m / table à 120°. Lieu-dit « Les Correttes ». Route Belley-Parves – 1km avant Parves à gauche.

Église datée de 1894.

Parcours de santé : 19 ateliers.

Pierres à cupules : La pierre à bassins de Rosset fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le 3 mai 1913. La pierre à bassins de Bagneux est également classée.


Parcieux

Infos :

La commune de Parcieux est située à une vingtaine de kilomètres au nord de Lyon. Son territoire s'allonge d'est en ouest des pentes du coteau de la Dombes jusqu'au val de Saône dans une plaine en partie inondable.




A voir à Parcieux  :

A la découverte de Parcieux : Itinéraire d’environ 5 km, une demi-journée de promenade, à la découverte de l’histoire et du patrimoine du village :
1 : La mairie. 2 : L’église. 3 : La fontaine Bernalin. 4 : Grange Blanche. 5 : Point de vue sur Grange Blanche. 6 : Le château et l’allée des muriers. 7 : L’ancien barrage et l’ancienne écluse.
Parkings : place de l’église, salle des fêtes, rue des Marronniers en face de l’école.

Calvaire du XIX° siècle : Situé sur un promontoire qui domine la partie sud du village, il a été érigé en 1815. Le Christ et les deux larrons, avec la croix, provenaient du Calvaire de Lyon (près de Saint Irénée). Ils avaient été donnés par le Chanoine Frangin, natif de Parcieux, curé de la Métropole Saint-Jean de Lyon et qui fera transférer la Cène de Fribourg à Parcieux en 1834. Les statues de bois initiales ont été remplacées en 1900 par des statues de fonte. La restauration des stations du chemin de croix a été réalisée en 2006 par la Communauté de Communes.

Château de Grange-Blanche : Le Château de Grange-Blanche du XVI° siècle, restauré sous Louis XV possède un corps de logis flanqué de quatre pavillons. Louise Labé y vécut des heures "joyeuses" au XVI° siècle. Musicienne, écrivain, poète Louise fut une lyonnaise "féministe" avant la lettre. Elle fit sensation en s'engageant dans l'armée. On la surnomma "la Belle Cordière". Le château de Grange-Blanche est situé au nord du bourg dans un parc aux arbres majestueux. Propriété privée. Ne se visite pas.

L’ancien barrage et l’ancienne écluse de Port-Bernalin : L’aménagement du barrage à aiguilles de Port-Bernalin  remonte à 1875. Il avait 16 mètres de large, 160 mètres de long. Du barrage « à aiguilles », il ne subsiste que l’écluse. Aujourd’hui, elle est aménagée en port de plaisance. Le nom de Port-Bernalin vient du nom d’une maison que possédait, vers le XIV° siècle, Pierre Bernalin, notaire à Reyrieux .

L’Eglise Saint Roch : Elle est citée dès 984. Le chœur avec voûte est du XIII° siècle. Il supportait le clocher primitif disparu. Les deux premières travées de la nef centrale ont été remises en état après la Révolution. La chapelle Notre-Dame fut construite au nord en 1813. La chapelle Saint-Roch fut construite au sud en 1815-1816. Le clocher fut élevé en 1840-1843 par l’architecte Burgos. Les deux chapelles sont prolongées en nefs vers 1845. L’ensemble est prolongé à l’ouest avec la façade actuelle de style roman-byzantin dessinée par M. Albin Chalandon vers 1870. Dans le chœur, côté sud, un bas-relief en bois peint représente la Cène. Il provient de Fribourg en Suisse. Il est classé « Monument Historique ».

La fontaine-lavoir Font-Bernalin : Sous une toiture en batière portée par une élégante charpente, elle dispense ses eaux limpides très appréciées. Prendre la route de Reyrieux, jusqu’au château de Grange-Blanche (propriété privée).

Pigeonniers : Rue de l’Eglise, rue des Minimes, près de Grange-Blanche et près de la route D933.



Ceignes

Infos :

Ceignes, petite commune située au sommet du col de Cerdon, à 650 m d'altitude, sur un large plateau que borde l'extrémité des Monts Berthiand. Elle comporte 3 hameaux : Etables, Moulin Chabaud et La Levée. Village rural qui essaie de garder son caractère avec ses maisons en pierre. On découvrira au détour d'une promenade, la chapelle St Laurent d'Etables datant du XIIe siècle mais aussi un lavoir, une fontaine ou la salle des fêtes rénovée dans l'ancienne chapelle du XVe située au coeur même du village. Ceignes, un pays accueillant, qui s'agrandit doucement, tourné vers le tourisme pour les amoureux de la nature et des pierres.




A voir à Ceignes  :

Chapelle Saint-Laurent d'Étables : Chapelle fortifiée du XIIe siècle, inscrite aux monuments historiques, de style roman remanié en gothique. Elle se trouve au point le plus élevé du hameau.

Le Marais des Lèches : Promenez-vous en famille dans un site étonnant, et découvrez la face cachée du Marais des Lèches. Balade familiale issue des Promenades des Monts Berthiand permettant de découvrir le Marais des Lèches et le petit village d'Etables. Un observatoire et un sentier pédestre sur pilotis autorisent une approche pieds au sec de l'étang. Des panneaux pédagogiques qui reprennent les principales espèces et types d'habitat observé agrémentent cet itinéraire. Situé sur les chemins de randonnée des monts Berthiand, ce havre de paix est cependant équipé de tables de pique-nique afin de permettre une halte bien méritée. Si vous disposez de moins de temps, des parkings ont été aménagés et pour tous, une aire avec poubelles sélectives, dessert l'entrée du site à la croisée des chemins. Croisée où, la fontaine des Lèches, ou de Cabuche, ou des trois chemins, comme l'appellent les " anciens " nous rappelle cette époque pas si lointaine où le marais servait de réserve d'eau aux agriculteurs. Dès le début du siècle précédent, durant les périodes sèches, deux trous (toujours visibles) entourés de caillebotis en bois permettaient alors aux quelques deux cents vaches du hameau de s'abreuver à même le marais. Document de promenade disponible gratuitement à l'Office de Tourisme. Durée du trajet de 1h30 environ pour une distance de 3 km.


Martignat

Infos :

Martignat est distante de 27 km de son quasi-homonyme Martigna dans le Jura.




A voir à Martignat  :

Ancienne gare de Martignat.

Église Saint-Maurice : Edifice du XV eme siècle rénové de 1996 à 2000 sous la directive du service des monuments historiques avec mise à jour de peintures murales d'époque.

Les lavoirs : Ces édifices datent de la première adduction en eau du village. Ils étaient alimentés par la source d'Ecole qui a fonctionné jusqu'en 2000. Il y avait des fontaines et des lavoirs dans chaque quartier. Il ne reste plus que 3 fontaines et 2 lavoirs : au début de la route d’Evron, derrière la Mairie, vers le complexe du lange accolée à un lavoir, rue du Commerce et un lavoir prés du Pont sur l'Ange. Les fontaines ne fonctionnent plus et sont garnies de fleurs en été.

Pierres gauloises : A l'est de la commune, à proximité du châlet des chasseurs, on découvre dans la forêt deux mégalithes ou pierres dressées. Chaque partie apparente est un triangle d'environ 190 cm de hauteur sur une base de 180 cm. La pointe est dressée vers le haut. Orientation sud sud-est. Origine inconnue.

Randonnée Les Grands Plants : Partez pour un petit tour en forêt pour profiter de points de vue sur les vallées de l'Oignin et du Lange. Circuit au balisage jaune. Facile. Distance : 5.5 km. Dénivelé : 300 mètres. Durée : 2h30.

Sapin de Nerval : Situé à l'est de la commune, le diamètre de cet épicéa est de 88 cm, sa hauteur de 40.5 m et son volume de grume de 10 m3.

Sapin président : Il s'agit en fait de l'Epicéa Président appelé également "Le gros Touffu". Il est situé aux Grands Plans à l'ouest de la commune. Son diamètre est de 100 cm, sa hauteur de 31.50 m et son volume de grume de 7.50 m3.

Montréal-la-Cluse

Infos :

Montréal-la-Cluse se situe au centre-est du département de l'Ain dans le Haut Bugey, dans le massif du Jura. Son territoire est délimité par les communes de Nantua, Port, Brion, Béard-Géovreissiat, Apremont et Martignat.





A voir à Montréal-la-Cluse  :

Arrêt du chemin de fer touristique de la « Ligne des hirondelles ».

Église gothique Saint-Maurice.

Promenade des cascades du Landeyron : Promenade de 2h15 le long du Landeyron qui forme des cascades successives et des marmites de géant. Passage d'un gué, point de vue, halte au bord du ruisseau et petite leçon de nature avec 4 panneaux d'interprétation. Le chamois n'est pas loin : chuuut ! Jonction possible avec les sentiers balisés de Nantua.

Randonnée du Landeyron aux Fècles : Cette boucle dans la partie haute de la vallée du Landeyron, permet aussi de découvrir des forêts variées, le bief du Landeyron, des points de vue du haut des falaises de Nantua sur le lac de Nantua, ainsi que sur les plaines de Port et de La Cluse. Ce sentier part du futur point de départ général en bordure Est du Village de Montreal, et suit en partie la haute vallée du Landeyron, côté nord, en traversant l'ancienne carrière de Montreal. Il rejoint la route forestière de " Pré Ruba ", puis redescend dans la vallée du Landeyron pour traverser le Bief. Sur le territoire de Nantua, le sentier rejoint celui de la Barre des Fècles (au-dessus de la ferme de la Tour). Distance : 9.2 km. Durée : 4h00 à 5h00.

Ruines du château féodal.

Ruines d'un château fort sur le mont Bey.



Oyonnax

Infos :

Oyonnax se situe au nord du département de l'Ain, à la limite nord du Haut Bugey, dans une région de lacs, de forêts et de rivières entre les agglomérations de Lyon et Genève. La ville est située dans le massif du Jura, à la porte du parc naturel régional du Haut-Jura. Elle est traversée par l'Ange et par son affluent la Sarsouille. Le Bassin d'Oyonnax bénéficie d'un environnement de moyenne montagne privilégié permettant la pratique de nombreux sports et loisirs. Oyonnax est une des rares villes de France à arborer la médaille de la résistance.

Office du Tourisme : Tél. 04.74.77.94.46



A voir à Oyonnax  :

Arrêt du chemin de fer touristique de la « Ligne des hirondelles ».

Église Saint-Léger : Elle fut construite en 1840, par l'architecte Chenavard.

Forêt communale de la Brétouze : Composée de 60% d’épicéas, la forêt de la Brétouze est le lieu où les oyonnaxiens ont plaisir à se promener. Cette pépinière communale présente un kiosque rustique, des sentiers pédestres et de petites sources. Ici s’y déroulait, pendant les premières années du siècle, tous les premiers dimanche de juillet, une fête champêtre réunissant parfois jusqu’à 4000 personnes venues cuire la côtelette au feu de bois.

La Grande Vapeur : Ce monument a été renommé, la « Grande Vapeur » désignant à l'origine un autre bâtiment plus ancien qui fournissait de l'énergie grâce à la vapeur et qui appartenait à la Société du moteur industriel. Cette première Grande Vapeur a ensuite changé d'usage plusieurs fois jusqu'à devenir une salle de cinéma avant sa destruction en 2001.
La Grande Vapeur est un bâtiment construit en 1905, par l'architecte Auguste Chanard. À l'époque c'est une usine d'une nouvelle génération : elle est composée d'une soixantaine de cabines individuelles branchées sur un seul moteur grâce à la transmission de courroies. Elles sont louées par les ouvriers, appelés « piéçards » car payés à la pièce. Ceux-ci sont donc totalement indépendants, hormis le fait qu'ils sont sous l'autorité de l'Union électrique — ancien nom d'EDF — propriétaire des lieux et fournisseur de l'énergie nécessaire aux machines. L'usine fonctionne ainsi un demi-siècle, avant l'invention de la presse à injecter.
En 1967, la ville d'Oyonnax rachète le bâtiment à EDF, qui n'en a plus aucune utilité. Il est classé monument historique en 1988, et est réhabilité afin d'accueillir le musée du peigne et de la plasturgie.

La maison Brunet : Ce bâtiment est l’un des plus anciens de la ville. Il abrita la mairie au 19° siècle. Juste à côté, on peut voir le Monument aux Morts des trois guerres, qui comporte notamment des scènes de la Résistance.

La place de la Croix-Rousse : Cette place se situe au cœur d'un quartier (en plein réaménagement) qui porte le même nom. Ce sont les industriels lyonnais lors de leurs collaborations avec leurs homologues oyonnaxiens qui ont souligné par ce surnom la ressemblance géographique avec la Croix-Rousse lyonnaise : une forte présence industrielle dans un quartier en pente et accessible par des montées très raides, rue du 8 mai 1945, rue du Muret et rue du Château. La place ne constitue qu'une terrasse puisque la rue de la Paix, également très pentue, amène aux quartiers supérieurs de la ville (place des Déportés de 1944, lycée Paul-Painlevé). Pour la différencier de la lyonnaise, la Croix-Rousse oyonnaxienne a longtemps porté un "s" final (Croix-Rousses), désormais abandonné.

Le lac Genin : Ce joli lac de montagne est situé dans une clairière entourée de sapins. Classé site naturel, il se trouve à une altitude de 831 m et présente une superficie de 8ha. Magnifique lac de combe, il se partage entre trois communes : Oyonnax, Echallon et Charix. Surnommé "Le petit Canada du Haut-Bugey" le site offre diverses activités aux visiteurs : sentiers de randonnée circuits VTT, baignade surveillée, pêche. En hiver vous pourrez goûter aux joies du ski de fond, du patin à glace, de la promenade en raquettes ou encore de la plongée sous glace. On y rencontre une flore intéressante de marais, notamment avec les Drosera, plantes carnivores.

Les vieilles publicités : Rue Sonthonnax, ces publicités murales furent peintes en 1923 par le plâtrier-peintre oyonnaxien Bellini et restaurées par les professeurs du Centre Culturel Aragon sous la direction de Monique Brochet.

Musée du peigne et de la plasturgie : Ce musée, unique en Europe, vous plongera dans l’étonnante aventure industrielle d’Oyonnax, capitale du peigne et de la plasturgie. Il retrace l’évolution des progrès techniques, scientifiques, artistiques et sociaux liés à l’apparition et à l’utilisation de la matière plastique par l’homme.
Ouverture toute l’année sauf jours fériés. Tarif : 4,50 €. Gratuit jusqu’à 7 ans. Tél. 04.74.81.96.82

Parc de l'Oyonnalite.

Parc René-Nicod.

Parcours sportif de la Bretouze.

Randonnée du lac Genin : Selon la saison, vous pourrez y venir pour fuir la canicule ou pour patiner sur le lac gelé. Circuit au balisage jaune. Difficile. Itinéraire disponible dans le topoguide "Randonnées pédestres dans le Haut-Bugey, le Pays Bellgardien et le Pays de Gex".
Distance : 14 km. Dénivelé : 550 mètres. Durée : 5h.

Sentier de la Sarsouille : En partant du centre-ville d'Oyonnax et en remontant le cours d'eau la Sarsouille dans la forêt de la Bretouze, venez découvrir la belle histoire qui le lie aux habitants de la région.
Distance : 5,6 km. Dénivelé : 254 mètres. Franchissement de gués et d'une passerelle suspendue : évitez d'emprunter le sentier en cas de pluies récentes. Les enfants doivent être accompagnés. Partez bien chaussés... et n'oubliez pas de prendre de l'eau ! Respectez les règles de sécurité en cas d'exploitation forestière. Dépliant disponible à l'Office de Tourisme intercommunal d'Oyonnax.


Ordonnaz

Infos :

Entouré par les communes de Lompnas, La Burbanche et Rossillon, Ordonnaz est situé à  34 km au Nord-Ouest d'Aix-les-Bains la plus grande ville aux alentours. Situé à 853 mètres d'altitude, Le Ruisseau de la Vourte, le Ruisseau de Papan, le Ruisseau du Creux du Solliant sont les principaux cours d'eau qui traversent la commune d'Ordonnaz. La commune est proche du parc naturel régional du Massif des Bauges.



A voir à Ordonnaz  :

Mini-musée du Comté : Ancienne fromagerie du village en activité de 1881 à 1969. Découverte de tous les instruments utilisés pour la fabrication du beurre et du fromage.
Ouverture toute l’année sauf le lundi. Tél. 04.74.40.90.37

Puits des chanoines de Saint-Ruf datant de 1118.

Randonnée le Calvaire de Porte depuis Ordonnaz : Sentier-Nature

Tilleul planté à côté de l'église en 1601 pour commémorer le rattachement du Bugey à la France.

Visite guidée  « Sur les pas des chanoines de Saint-Ruf » : Découverte des sites d’intérêt : fours, ancienne fruitière, puits, lavoirs, fontaines, église… Histoire d’Ordonnaz de l’époque romaine à nos jours. Durée de la visite : 2h30.
Période des visites sur demande. Tarif gratuit. Tél. 04.74.40.90.37


Oncieu

Infos :

Communément appelé le Diamant du Bugey, venez découvrir un village pittoresque classé site historique et qui a la particularité d’être construit en rond. Une des explications de la forme circulaire du village serait qu'un plus ancien village aurait été détruit suite à un événement brutal (incendie, peste) et sa reconstruction autorisée autour du pré féodal avec la condition de ne pas percer de fenêtre ou de porte donnant sur le pré. Les habitants parquaient les troupeaux dans la partie centrale.


A voir à Oncieu  :

Massif d'Evosges.

Grotte de l'Âne.

Le rocher dit de la Cathédrale (jurassique supérieur type rauracien).




Neuville-sur-Ain

Infos :

Neuville-sur-Ain est située à la pointe sud du Revermont et dans la partie la plus montagneuse du canton de Pont d'Ain. La rivière d'Ain qui la limite en partie, au levant, quitte alors les chaînons du Jura pour devenir une rivière de plaine. Le Suran aux nombreux méandres la traverse du Nord au Sud. Les deux vallées sont presque parallèles et enserrent une grande partie de la commune. La plaine de Thol est constituée de dépôts fluvio-glaciaires (quaternaire) tandis que les parties rocheuses, essentiellement en bordure des deux vallées, se rattachent au jurassique (secondaire). On compte huit hameaux, à savoir Arthurieux, Châteauvieux, Fromente, Planche, Rappes, Résignel, Saint-André et Thol. Le bourg de Neuville se compose lui-même de deux quartiers : Neuville-le-Haut, ou la ville, regroupée autour de l'église et du centre mairie, école, salle des fêtes. Le port, dont bien sûr, l'existence et le développement ont été étroitement liés à la rivière d'Ain, quartier auquel on peut rattacher les quelques maisons sous les « tilleuls » et de Bosseron, ces dernières situées en bordure de la D.984.
Office du Tourisme : Tél. 04.74.37.77.16



A voir à Neuville-sur-Ain   :

Abri préhistorique de la Colombière : Parfois nommée abri de la Colombière ou abri-sous-roche de la Colombière, cette modeste cavité est célèbre pour le patrimoine archéologique qu'elle recèle et pour les fouilles qui s'y sont succédé tout au long du XXe siècle. Située sur une propriété privée, la grotte de la Colombière n'est pas accessible au public. Le vaste porche d'entrée théâtre des fouilles archéologiques est cependant bien visible depuis le chemin (accessible aux piétons uniquement) qui relie Neuville-sur-Ain à Poncin en rive droite de la rivière d'Ain, sur le sentier aux falaises d’escalade. La grotte fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le 28 décembre 1946.

Chapelle : A Arthurieux. Placée sous le vocable de Sainte-Anne, elle a été construite par les habitants à l’emplacement d’une plus ancienne en remerciement pour avoir été épargnés de la peste.

Château de La Tour : Le château actuel, bâti au 19e siècle, remplace un édifice rectangulaire que devait accompagner un parc. La commande fut passée par Etienne Goujon, médecin et sénateur de l'Ain, à l'architecte Tony Ferret. La construction présente quatre faces différentes, alliant symétrie et dissymétrie. L'entrée principale classique, donnant sur le parc, se compose d'un porche avec des décors en applique rappelant les thèmes des 17e et 18e siècles. La façade donnant sur le village est la plus ostentatoire, avec son donjon. Des visages des deux fils d'Etienne Goujon décorent, toujours en applique, l'angle avec la façade nord. La circulation des façades principales était réservée aux propriétaires, tandis que celle des accès latéraux était destinée aux domestiques. A l'intérieur, un vestibule dessert les pièces principales de réception. Au centre se trouve le grand salon, orné de stucs et de médaillons peints. Le salon sud est tendu de soieries. Les boiseries de la bibliothèque sont complétées par une tapisserie. A l'étage, la distribution respecte encore les dispositions d'origine. Le parc conserve son ancienne entrée, un mur d'enceinte avec une tourelle et un bassin, mais a été détérioré par la construction de maisons dans sa partie sud. L'édifice est inscrit au titre des monuments historiques en 2006. Autrefois colonie de vacances, il est devenu aujourd’hui une propriété privée.

Château de Thol (Vestiges) : Il fait face au Château de Chenavel, situé de l'autre côté de l'Ain (rivière) à moins de 2 kilomètres. Daté du XIIIe siècle, le château, de forme carrée d'environ 32 mètres entouré de fossés secs, est situé sur une butte au dessus de la vallée de l'Ain. Deux tours, carrées également, sont présentes aux angles nord-ouest et sud-ouest.
L'édifice est inscrit au titre des monuments historiques en 1927. En partie restauré.


Ecomusée les Vieux Clous : Venez découvrir le charme de ces métiers ancrés dans les temps passés qui nous plongent au coeur même de nos traditions et notre savoir-faire. Vous côtoierez la vie nostalgique de nos anciens en découvrant la mise en marche et le fonctionnement des machines. Les Vieux Clous est une association composée de membres passionnés par la vie d'antan. Elle a pour vocation la sauvegarde et la restauration de matériel ancien, afin de préserver la mémoire de ces vieux métiers, tels que ceux de la terre, de l'eau, du bois, du fer et de l'élevage avec leurs particularités (trieurs, vans, moulins à grain, tracteurs, outils, pièce de vie...).
Ouvert tous les 3èmes samedis de chaque mois de 10h à 12h et de 14h à 17h. Tarif : 2 €. Gratuit pour les moins de 10 ans.
Domaine de Thol – 01160 Neuville-sur-Ain. Tél : 04 74 37 73 87
http://ecomusee-neuville.blogspot.fr/

Le Bourbou : En aval du pont de Planches, sur la rive droite du Suran, curieuse source dans un trou presque circulaire dans lequel il faut voir l’un des principaux exutoires du cours souterrain du Suran.

Le moulin à huile : Situé dans le quartier du port et inséré dans les maisons classées. Il date de plus de deux siècles et possède encore sa meule de pierre, entraînée autrefois par l’énergie de la rivière. Visite du moulin. Vente directe d’huile de noix et de noisettes. Durée de la visite : 1h30.
Ouverture sur rendez-vous. Entrée libre. Tél. 04.74.39.07.80
73, Rue du docteur Hubert, 01160 Neuville-sur-Ain

Le pont et l’ancien port : Inscrits à l’inventaire des sites pittoresques. Premier pont horizontal à 2 arches en pierre construit dans le département, de 1771 à 1777, pour permettre à la voie royale Lyon Genève de franchir l’Ain en territoire français, sans passer par la Savoie.

Le trou des voleurs : Cavité dans la roche (actuellement murée) située au lieu-dit « sous roche », rive gauche, le long de la N.84 entre Neuville et Poncin. C’est une sorte de tunnel dont la largeur varie jusqu’à 4 m et la hauteur atteint 1,50 m. Il s’agirait du cours souterrain d’un affluent de l’Ain (sec en été) pour l’écoulement duquel on a ménagé des ouvertures dans le mur. Ce genre de cavité servait de repaire aux voleurs qui attaquaient les diligences et dévalisaient les voyageurs.

Maisons aux façades classées : Surplombant la rivière d’Ain.

Sentier d'interprétation entre deux rivières : En empruntant ce sentier d'interprétation, vous découvrirez les particularités des gorges de l'Ain et du Suran, à l'aide de 5 panneaux explicatifs. Itinéraire d'environ 5h à faire sur une demi-journée ou mieux sur une journée avec pique-nique à mi-chemin. Ce parcours a été conçu pour découvrir la formation du paysage des gorges de l'Ain et les écoulements souterrains, liés au karst du Revermont. 17 km - moins de 100m de dénivelés.

Site d’escalade : 120 voies de 10 à 25 m - Difficultés : de 4 à 8a, majorités des voies entres 6a et 7a.
Accès : Lieu-dit la Colombière. Ne pas traverser le pont de Neuville sur Ain mais continuer tout droit. Passer devant le restaurant "Au faisan doré" Avancer sur 500 mètres. Prendre la première route sur la droite. La falaise est au bout de cette route, au bord de l'Ain. Se garer vers une barrière interdisant l'accès du chemin circulant au pied de la falaise. Celle-ci se trouve  à 50 m.

Skate parc : En accès libre toute l'année au Domaine de Thol.